Bonne nouvelle pour les consommateurs de vin soucieux de l’environnement. Les actualités liège montrent qu’il est désormais possible de compenser ses émissions de CO2 en optant pour des bouchons de liège naturel. Une petite décision, mais un grand pas pour réduire son empreinte carbone.
On veut tous préserver la planète, tout en continuant à profiter du vin dans des bouteilles en verre traditionnelles, qui en conservent toutes les qualités. Le premier producteur de bouchons de liège au monde, Amorim, a trouvé une solution écologique qui profite à tout le monde.
Les bouchons en bouchons liège naturel peuvent compenser intégralement les émissions de CO2 dues à la fabrication des bouteilles en verre. En effet, ils jouent un rôle central dans la réduction de l’empreinte carbone du secteur vinicole.
Ce constat étonnant a été validé par une étude d’évaluation du cycle de vie (ACV) publiée par EY en 2020*. Lorsqu’on mesure la quantité de CO2 captée grâce à la séquestration du CO2 dans les forêts de chênes-lièges jusqu’au produit fini, les résultats sont impressionnants.
Les bouchons de liège naturels peuvent capturer de grandes quantités de CO2. C’est un exemple clair de séquestration du CO2 active dans un produit du quotidien. Ainsi, en choisissant des bouteilles bouchées avec du liège naturel, les consommateurs contribuent à un environnement plus sain en compensant l’empreinte carbone des bouteilles en verre – un facteur particulièrement important pour les vins haut de gamme.
Cette propriété de séquestration du CO2 par le liège n’entraîne aucun coût supplémentaire. Elle fait partie intégrante de ce matériau naturel remarquable et constitue un avantage réel auquel chaque professionnel du vin et chaque consommateur peut prétendre.
Sans la demande croissante de bouchons de liège, les 2,2 millions d’hectares de forêts de liège du bassin méditerranéen – l’un des 35 sanctuaires de biodiversité dans le monde – cesseraient d’exister tels que nous les connaissons aujourd’hui, augmentant ainsi l’empreinte carbone globale.
« Si nous voulons préserver les chênes-lièges - qui ne sont jamais abattus et peuvent vivre plus de 200 ans - nous devons privilégier l’utilisation des bouchons en liège", explique Carlos de Jesus, Directeur Marketing et Communication d'Amorim. « Nous savons maintenant, grâce à une analyse indépendante "cradle to gate », sur l’ensemble du cycle de production, que les bouchons de liège ont un taux de séquestration de CO2 si important qu'ils peuvent compenser les émissions de CO2 des autres éléments de la chaîne de production, comme les bouteilles en verre. En fait, ils sont la solution à la responsabilité environnementale de chacun ».
En choisissant une bouteille avec un bouchon de liège naturel, vous faites bien plus que préserver la qualité de votre vin. Vous participez activement à la séquestration du CO2, à la compensation de vosémissions de CO2, et à la réduction de votre empreinte carbone personnelle.
Références : Norme ISO 14040/44 (ISO, 2006), et directives du guide International Reference Life Cycle Data System (ILCD) Handbook - General guide for Life Cycle Assessment - Detailed guidance (EC-JRC, 2010).
Les méthodes de calculs utilisées étaient conformes aux recommandations des Product Environmental Footprint Category Rules (PEFCR) for product environmental footprints (PEF) (« Règles catégorielles pour l’empreinte environnementale des produits ») émises par la Commission européenne en 2018 pour les vins tranquilles et effervescents.